Tout commence par le besoin de partir, pour seule certitude : vouloir être ailleurs. Loin, de tout ce qui nous enchaîne au quotidien, de nos dépendances, de tout ce que nous croyons être… Découvrir les paysages aux multiples aspects, errer selon l’intuition, répondre à l’appel de l’horizon, c’est le vrai bonheur d’une quête sans fin. Une quête où la terre est sans frontières. Une quête où « être » est synonyme de « libre », où « voyager » est synonyme de « vivre ».
ce n'est pas les 3 cm de neige qui vont nous arrêter .... Alors après avoir chargé la " Bête " sous les flocons
c'est le Départ le Soleil et la douceur de vivre ...
Les BADUKUS
Les anthropologues de la Seine-St-Denis ont pu identifier
de nouveaux spécimens d'une variante de l'être humain connue
sous le nom scientifique "homos-erectus-cul bas ".
> > > Ces spécimens sont le résultat de la dérive génétique due à une position
> > > et des gestes saccadés des extrémités supérieures.
> > >
De nouvelles recherches ont montré un raccourcissement des jambes
et un endurcissement du crâne ainsi qu'une diminution du système nerveux
et du volume du cerveau (1/10 du volume en comparaison avec l'être humain normal).
> > > Ceci explique pourquoi leurs casquettes sont trop grandes et reposent sur les oreilles.
C’est aussi la raison pour laquelle ils portent la visière derrière, sinon ils ne verraient rien.
> > > Avoir les jambes courtes et le corps à proximité du sol produit une hypertrophie des organes génitaux.
> > > Cela pourrait expliquer leurs difficultés à établir une communication verbale intelligente,
déjà très pénalisée par le rétrécissement inéluctable du cerveau.
> > > Au niveau social, on note un manque de langage verbal et les quelques expressions
que les scientifiques ont observées sont inarticulées et inintelligibles.
> > > Les premiers exemplaires ont été trouvés pour la première fois en Amérique
mais ils ont rapidement colonisé les autres continents et notre pays.
Ils sont actuellement très répandus dans la faune urbaine de nos villes.
> > > Un de leurs problèmes est qu'’ils ne peuvent plus se gratter le derrière,
car ils sont BADUKUS.
> > > Pour uriner c’est la même chose, leurs bras sont trop courts.
> > > Comme ils sont fainéants, leurs bras commencent à s’atrophier et leurs pieds à se palmer,
d’où une façon de marcher qui s’apparente à celle des pingouins.
Mais pour des raisons que l’on ignore ils n’aiment pas l’eau …
> > > Ils ont d’énormes problèmes sexuels.
Ils parlent sans cesse de vouloir “niquer” car ils n’y parviennent pas
puisque leurs attributs trainent par terre et qu'ils ne peuvent s’aider manuellement.
> > > Cette race est vraiment à part.
Ils ne peuvent copuler qu'’entre eux, entre BADUKUS,
ce qui en rajoute à leurs problèmes physiques
et intellectuels de par leur consanguinité à haute dose.
> > > Mathématiquement ils devraient donc être condamnés
à disparaitre à terme
(enfin on espère !)
Merci à M.D. pour sa sagacité a étudier la race humaine